Je suis assis tout seul sur un ban du jardin de frangipaniers près du bâtiment du Conseil des Ministres. Le boulevard de la Confédération de Russie est juste là. La circulation est importante et bruyante. Des personnes âgées font du jogging, du badminton ou dansent sur une musique rythmée.
Les gens autour de moi sont heureux. Mais pas moi. Peine, souffrance, déception… Je suis triste. Les nuages noirs s’accumulent dans ma tête. Je sature. J’en ai assez. Ai-je des problèmes dans ma tête ? J’ai les mains moites. Mon cœur palpite. J’étouffe. J’ai l’impression que le ciel me tombe sur la tête.
Dieu sait si je traverse un moment difficile ! Je n’ai plus le courage de vivre dans ce monde. Je me sens faible. Je suis amer. Je ne sais plus sur quel pied danser. Je suis découragé et je ne sais pas comment faire pour remonter la pente.
En cet instant, j’ai besoin de quelqu’un qui me comprenne, qui me console et qui me serre dans ses bras. Une personne qui m’aide à trouver le chemin et à m’en sortir.
N’importe qui peut acheter une bague au marché. Mais personne ne peut acheter quelqu’un qui puisse nous comprendre et en qui nous pouvons avoir confiance. J’ai besoin de parler et qu’on me réponde : « Je garderai pour moi tout ce que tu me diras.». Or, j’ai déjà fait confiance. Et les gens ont à chaque fois vendu la mèche.
Durant ma courte expérience, j’ai souvent croisé des personnes médisantes et moqueuses. C’est leur réponse à ma générosité et à ma tolérance. A chaque fois, je dois faire avec et reconstruire une nouvelle amitié. Laisser du temps au temps. Rester debout et ne compter que sur moi-même. Je refais ma vie et crois qu’avec de la persévérance, je peux y arriver.
« Dans la vie, pauvre garçon, il y a des gens qui sont plus malheureux que toi », me dis-je.
Soudain, une grande dame, chemise noire froissée, jupe déchirée, visage ridé, bouche édentée, me donne un sourire radieux.
(correction par mon eneignant de FLE, ci-dessou est mon text origine)
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Je m’assois tout seul au ban du jardin des frangipaniers au près des Conseils de Ministres. Comme il est tout près de boulevard des Fédérations de Russie, la circulation fait des bruits et les personnes plus âgées font du joking, dansent avec animateur et musique pour la santé, les autres font du tennis et de sport.
Les êtres vivants sont heureux mais pas moi. La peine, la souffrance… J’ai lugubre. Le temps des nuages noirs est dans ma tête. J’ai des maux en étant très déçu. Je sature et j’en ai assez. Ai-je des problèmes de cerveau ? J’ai les mains moites, la palpitation et je suis vraiment étouffement. J’ai l’impression que le ciel qui tombe sur moi.
Ô combien, je traverse un moment difficile! Ayant des désespoirs, je n’ai plus de courage à vivre dans ce monde. Je me sens faible mentalement en ayant très mal dans la tête. Tout est amer. Je ne sais pas sur quel pied danser. Je me décourage et je ne sais pas comment faire remonter le forte motivé.
Cette instance, j’ai besoins de quelqu’un qui me comprend, qui me console et qui m’embrasse dans ses bras. Je voudrais vraiment la personne qui m’aide pour m’en sortir et qui sait diriger la personne vers le chemin qui est bon.
Certainement, tout le monde peut acheter une barque au marché mais on ne peut pas acheter quelqu’un qui peut nous comprendre. J’ai besoin de parler en toute confidentialité. Pourtant, à mon expérience, les gens vendent la mèche. Je prononce en toute confidentielle et je voulais que la personne me dise : « Moi, tous ce que tu me dis, ça reste en moi ». Ça m’étonnera et je la ferrais confiance. Je l’avais trottée mais je ne trouve personne dans ce monde.
Dans le chemin qui croit, les gens qui je connais dans le chemin de vie, il n’y plutôt que les amis qui parlent mal de toi et qui m’en moque. C’est ça qu’ils me disent merci en contrario à ma générosité et à ma tolérance.
Bon, je dois pallier pour toujours et je reconstruise la nouvelle amitié. Il faut laisser le temps au temps. Rien que la vérité. Je dois être debout et compte sur mes doigts. Je refais ma vie et je crois qu’avec la persévérance, on arrivera jusqu’au bout.
« Dans la vie, pauvre garçon, il y en a des gens qui sont malheureux que toi ». Me dis-je.
Soudain, la grande dame porte la chemise noire froissée, a le visage ridé avec la bouche édenté, mais elle me donne un sourire radieux.
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